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LES HUILES FATALES / CELLES QUI GUÉRISSENT
Contrairement au mythe populaire, l'organisme a besoin de matières grasses -de la bonne sorte-, toutefois. Durant la petite enfance et l'enfance, certaines matières grasses et huiles sont nécessaires pour le développement normal du cerveau. La source d'énergie la plus concentrée qui soit disponible à l'organisme, les lipides participent à la construction des tissus, au correct échange des fluides et des nutriments, et au support de la croissance. Des milliers de recherches cliniques ont reconnu l'importance des acides gras essentiels, et ont contribué à améliorer nos connaissances sur les matières grasses, dont le corps a besoin. LES DANGERS DES HUILES HYDROGÉNÉESDe nos jours, en Amérique du Nord, les huiles et autres matières grasses constituent de 30 à 40% de l'alimentation, bien loin du ratio idéal de 10-20%, recommandé par les organisations sur la santé. Une consommation excessive en lipides de pauvre qualité -telles que les huiles hydrogénées ou partiellement hydrogénées, et “trans-fats”- est essentiellement responsable de l'obésité et de nombreuses autres conditions dégénératives: les problèmes cardiovasculaires (crise cardiaque, attaque, hypertension, cholestérol élevé, durcissement des artères), les tumeurs et cancers, les désordres du foie, des reins, de la prostate et de la vésicule biliaire, les maladies inflammatoires (arthrite, asthme, colite, anomalies dermiques), les dommages au cerveau et du système nerveux, et la déficience de l'immunité. Les conditions dégénératives, causées par les " mauvais " acides gras, tuent prématurément plus des deux tiers de la population des nations affluentes et industrialisées. Soixante huit pourcent des personnes meurent de trois principales conditions, impliquant la dégénération des acides gras: les conditions cardiovasculaires (43.8%), le cancer (22.4%), et le diabète (1.8%). Une consommation excessive en lipides de pauvre qualité, non seulement épuise les fonctions du foie, mais promeut également des déséquilibres mentaux et émotionnels, tels que la colère, la violence, le manque de concentration, la fatigue, et la dépression. Enfin, il est nécessaire de comprendre les différents types de matières grasses qui nous sont disponibles, afin de les intégrer au sein des problèmes de la santé. Les huiles et matières grasses sont regroupées parmi les trois catégories principales des acides gras - saturés, polyinsaturés, et monoinsaturés - Ceux-ci sont classifiés selon la prédominance de leur type. Le foie utilise les acides gras saturés pour fabriquer du cholestérol. Ceux-ci sont solides à la température ambiante et proviennent principalement de sources animales, tels que les viandes, les oeufs, et les produits laitiers. Cependant, certains produits végétaux, incluant la noix de coco, l'huile de palmier, l'huile d'arachide, et la margarine, sont également élevés en gras saturés. Cette catégorie constitue les matières grasses les plus stables, car celles-ci deviennent rarement rances. La prédominance des acides gras polyinsaturés , tels que les acides gras essentiels des oméga 6 (l'acide linoléique, or LA), est généralement trouvée dans les huiles de mais, de soja, de tournesol, de noix, et dans certaines huiles de poisson. Ces huiles demeurent liquides, même à la température du réfrigérateur. Mais contrairement aux lipides saturées, les polyinsaturées, qui ne sont pas raffinées et rancies , peuvent actuellement abaisser le niveau total de cholestérol (le 'mauvais cholestérol LDLs et le 'bon cholestérol' HDLs). La majorité des huiles polyinsaturées vendues commercialement ont malheureusement été raffinées et exposées à haute température (au moins 320o F), à des produits chimiques, à la lumière et à l'air. De pauvre qualité, elles deviennent facilement oxydées et rances. Elles constituent une source dangereuse d'acides gras dénaturés et contribuent largement aux risques des maladies cardiovasculaires, de l'arthrite et du cancer. Les chercheurs de l'Université de Harvard ont rapporté que les personnes consommant des huiles partiellement hydrogénées, et hautement dénaturées, encourent un risque d'attaque au coeur, deux fois plus élevé que celles qui ne consomment pas d'huiles hydrogénées. Les acides gras monoinsaturés (acide oléique) se trouvent principalement dans les légumes, les noix, les huiles d'olive, d'arachide, et de canola. Les monoinsaturés restent liquides à la température ambiante, mais deviennent solides au réfrigérateur, et se détériorent relativement lentement. Ces acides gras paraissent réduire les taux sanguins de LDLs, sans affecter ceux du HDLs. Cependant, l'impact positif sur le cholestérol LDL étant relativement modeste, la consommation de ces acides gras devrait être modérée. Les huiles monoinsaturées non raffinées, telles que l'huile d'olive extra vierge, de sésame, ou de tournesol (oléique seulement), sont généralement plus saines que les huiles polyinsaturées ordinaires, telles que celle de maïs, de soja, et de tournesol. Les avocats, les amandes, et les cacahuètes sont d'autres sources d'acides gras monoinsaturés. Malheureusement, en Amérique du Nord, la majorité des huiles de consommation ordinaires, sutout les huiles de maïs, canola et de soja, proviennent d’organismes génétiquement modifies (OGM), et ceux-ci démontrent de plus en plus qu’ils présentent de vrais dangers pour la santé. LES ACIDES GRAS ESSENTIELS QUI GUÈRISSENTLes acides gras essentiels (AGEs) sont les acides gras polyinsaturés à la longue chaïne, tels que les omégas 3 (n-3) et les omégas 6 (n-6). Les acides gras essentiels ne peuvent pas être fabriqués par le corps, et par conséquent, doivent être apportés par l'alimentation. Les deux familles des acides gras essentiels incluent: Chaque cellule vivante de l'organisme a besoin d'acides gras essentiels pour être fonctionnelle. Ceux-ci sont vitaux pour reconstruire et pour produire de nouvelles cellules. Une carence en oméga-3 réduit la capacité des cellules à remplir efficacement leur fonction, pouvant mener à une inanition nutritionnelle et à la maladie chronique. Ils sont essentiels pour la production des prostaglandines (PGs) , de la famille "E" des éicosanoides, qui sont de très importantes substances à courte durée de vie, similaires à des hormones. Les prostaglandines régularisent l'activité cellulaire de moment à moment, et exercent de profonds et puissants effets sur un large éventail de nos fonctions organiques. Elles sont également cruciales pour la régularisation de l'inflammation, de la douleur, des sécrétions et des fonctions gastriques, de la pression sanguine, des fonctions du coeur, de la fonction des reins et de l'équilibre des fluides, de la coagulation sanguine et de la viscosité des plaquettes, de la réponse allergique ; et de la transmission nerveuse ; de la production des stéroédes et de la synthèse des hormones. La chaleur détruit les acides gras essentiels, et les transforme actuellement en dangereux " radicaux libres ", qui accélèrent le vieillissement et affaiblissent le système immunitaire. Des études ont démontré que les AGEs ont des effets positifs sur de nombreux aspects de la santé. Ils amélioreraient la qualité de la peau et des cheveux, réduiraient l'obésité, et abaisseraient la pression sanguine. Le cholestérol et les triglycérides (LDLs) supportent les fonctions thyroédiennes et adrénales, et diminuent le risque de la formation de cailleaux. Ils ont montré de nombreux bénéfices dans les maladies cardiovasculaires, le candida, l'arthrite, les désordres de l'immunité, la baisse de la vue, la perte des cheveux, la peau et cheveux desséchés, les maladies de la peau (peau rugueuse, eczéma, psoriasis), les problèmes de foie, l'irritabilité et les sautes d'humeurs, la dépression, le stress, l'infertilité, et le retard du développement et de la croissance. LES OMÉGA-6sAinsi que souligné précédemment, parmi les acides gras des omega-6s, l'acide linoléique forme la majorité des polyinsaturés dans l'alimentation moderne, et est prédominant parmi les produits courants de consommation, qu'ils soient de forme animale, végétale ou en forme d'huile Les oméga-6s sont convertis par l'organisme en un différent composé, appelé acide arachidonique (AA) , un autre acide gras des omega-6s, en montant excessif chez la plupart des personnes. Les sources d'acide arachidonique sont essentiellement de provenance animale, et incluent la viande, la volaille, et les produits laitiers entiers. Les AA entraïnent la production des prostaglandines de type PGE2 et des "leukotriens", qui sont bénéfiques pour la guérison des plaies et des blessures. Cependant, en excès, les PGE2 constituent une substance hautement inflammatoire. Ils peuvent être la source d'enflure, de sensitivité, d'une augmentation de la viscosité du sang, et ont été associé à des conditions tels que l'arthrite, l'asthme, le lupus, la psoriasis, les grosseurs, les tumeurs et cancers. En fait, un nombre d'études expérimentales et épidémiologiques ont impliqué que les acides gras omega-6s seraient responsables du développement et de la progression d'une série de cancers humains, comprenant le cancer du sein, du colon, et peut-ètre celui de la prostate. Les chercheurs ont suggéré qu'une large consommation d'acides gras omega-6 contribue aux dommages causés par l'oxydation et a un impact sur la prolifération des cellules. Inversement, l'huile de poisson supprimerait la croissance et la métastase des tumeurs du cancer du sein et de celui du colon. D'autres études ont trouvé que l'effet protecteur de la DHA contre le cancer est du à sa capacité d'induire l'apoptose (la programmation de la mort des cellules). Un taux élevé de PGE2 a été trouvé dans un nombre de problèmes affectant l'humeur, le comportement, et la fonction du système nerveux. La production des PGE2 peut être limité soit en diminuant la consommation de produits animaux, ou en augmentant la production des PGE1 ou des PGE3. D'autres acides gras essentiels oméga-6 qui ont prouvé avoir des effets bénéfiques similaires à ceux des omega-3s sont les acides gamma linoléniques (GLA) . Les GLA sont trouvés dans le lait maternel; l'huile de primerose ; l'huile de cassis et de bourrache ; les noix; les pépins; les grains, et d'autres plantes telles que les micros algues. L'acide Linolénique conduit à la production des prostaglandines de type PGE1. Les PGE1 sont important pour le système nerveux, car ils affectent la libération de composés, se trouvant dans les cellules nerveuses, qui transmettent des impulsions nerveuses. Ils ont tendance à avoir des propriétés anti-inflammatoires et immunostimulantes. Ils peuvent réduire l'accumulation des fluides et ont un effet significatif sur le système nerveux. Certains médecins ont manipulé le sentier des PGE1 afin d'améliorer la dépression; la sclérose multiple; les syndromes prémenstruels; les changements d'humeur; la schizophrénie; le déficit de l'attention /les symptômes de l'hyperactivité, et d'autres conditions. Plusieurs facteurs, toutefois, peuvent bloquer la transformation des GLA en PGE1, tels qu'un excès d'acides gras saturés et de cholestérol; un excès d'acide arachidonique; la plupart des médicaments; les acides gras hydrogénés; l'alcool et le tabac, et la carence de certains nutriments. LES OMÉGA-3sLes acides gras essentiels des omega-3 à longue chaïne, et tout particulièrement l'EPA (acide éicosapentaénoique), la DPA (acide docosapentaénoique) et la DHA (acide docosahéxaénoique), sont encore plus primordiaux pour le développement optimum et la fonction des systèmes vitaux du corps. Cependant, l'alimentation occidentale moyenne ne procure que 15% de la dose diététique quotidienne recommandée de 0.6 à 1 gramme d'oméga 3. Théoriquement, les acides gras des oméga-6 et des oméga-3 ont besoin d'être équilibrés à un quotient allant de 1:1 à 4:1, dans l'alimentation. Cependant, l'alimentation moderne procure facilement des ratios aussi élevés que 30 parts d'oméga 6 pour une part d'oméga 3! Les régimes alimentaires, qui fournissent des huiles oméga-6s au lieu d'oméga-3s, stimulent les voies pro inflammatoires du corps. Les oméga-3s, à l'opposé, stimulent les voies anti-inflammatoires. En fait, les deux sortes d'oméga sont essentielles à la santé humaine, mais c'est l'équilibre de la relation entre les deux qui est capital. C'est pourquoi, l'accent devrait être placé sur l'approvisionnement au corps du montant adéquate des oméga-3s, soit en augmentant leurs sources naturelles, soit en prenant des compléments diététiques. La consommation des oméga-3s est tout particulièrement bénéfique si une baisse, dans le régime alimentaire, de la consommation des matières grasses saturées et du cholestérol n'a pas lieu. |
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